Les Etats-Unis ont annoncé mercredi qu’il mettra fin à des sanctionsles dérogations qui ont permis aux entreprises russes, chinoises et européennes de transporttravaux sur les sites nucléaires iraniens dans le cadre de l’accord nucléaire JCPOA.
France, l’Allemagne et la Grande-Bretagne ont publié une déclaration commune samedi, voicingleur profond regret Washington Déplaçons récemment annoncééliminer les dérogations de sanctions qui permet de travailler sur les sites iraniens destinés àempêcher le développement d’armes nucléaires, a rapporté Reuters.
Russe, les entreprises chinoises et européennes avaient obtenu le droit, en ligneavec les dérogations, pour effectuer des travaux dans le cadre de l’Iran deactivités de non-prolifération au Bushehr, Fordow, Arak et Téhéranles installations nucléaires du réacteur de recherche.
installation nucléaire d’eau lourde près d’Arak, Iran
« Brinkmanship nucléaire Suite »
Les Etats-Unis ont annoncé le 27 mai, il annulerait les dérogations de sanctionsqui avait permis russe, chinois et les entreprises européennes à effectuer des travauxlié à l’accord nucléaire Iran, connue sous le nom du Plan global conjoint desAction (JCPOA) conçu pour rendre plus difficile pour les sites nucléaires iraniens d’êtreutilisé pour le développement d’armes.
Aujourd’hui, je termine la levée des sanctions pour des projets liés JCPOA-en Iran,efficace dans les 60 jours. l’escalade nucléaire continue de l’Iran en fait clairementla coopération doit se terminer. D’autres tentatives d’extorsion de fonds nucléaire apporteront seulementune plus grande pression sur le régime.
Les dérogations doivent expirer le 27 Juillet, avec Pompeo ajoutant queWashington prolongerait pendant 90 jours une dérogation autorisant le travail étranger à lacentrale nucléaire russe construit à Bushehr pour assurer la sécurité desétablissement.
Dans ce 13 janvier 2015, fichier photo publié par le président iranien deBureau, visites Président Hassan Rouhani la centrale nucléaire de Bouchehrjuste à l’extérieur de Bouchehr, en Iran.
Le secrétaire d’Etat américain a également annoncé des sanctions américaines sur l’énergie atomiqueOrganisation des fonctionnaires Iran Majid Agha’i et Amjad Sazgar, qu’ilclaqué pour contribuer prétendument à la propagation des armes de destruction massivedestruction.
Toujours mercredi, Représentant spécial américain pour l’Iran Crochet Brian a dit queLa politique de « pression maximale » du président américain Donald Trump sur Téhéranl’offrir les options de négociation soit avec Washington ou Dealingavec ce qu’il a évalué comme « l’effondrement économique » en raison des sanctions américaines.
Au cours d’une conférence téléphonique lors d’une conférence spéciale du Département d’Etat le 27 mai,Crochet a dit:
« Désespéré Move »
Le 28 mai Téhéran a rejeté l’impact du mouvement de Pompeo, la qualifiantdéplacer « désespérée ».
L’Organisation de l’énergie atomique de l’Iran a déclaré les Etats-Unis avaient pris l’actionune offre « pour détourner l’attention de l’opinion publique de ses défaites continues aux mainsde l’Iran.
L’ambassadeur de l’Iran auprès des Nations Unies Majid Takht-Ravanchi dit que, avecle mouvement, Pompeo tirait la « prise finale » sur l’accord nucléaire, lales parties restantes qui sont la Grande-Bretagne, la Chine, la France, l’Allemagne et la Russie.
Politique « pression maximale »
La récente par l’administration de Trump est perçue dans le cadre deLa politique de « pression maximale » de Washington appliquée depuis qu’il a abandonné le 2015Iran accord nucléaire (JCPOA) en mai 2018, qui prévoyait un assouplissement desdes sanctions économiques à Téhéran en échange de bordures sur son programme nucléaire.
À la suite de cette décision, Washington a lancé un maximum que l’on appellecampagne de pression contre Téhéran, gifler des sanctions au pays.
Le guide suprême, l’ayatollah Ali Khamenei, parle d’une rencontre avec justicefonctionnaires à Téhéran, en Iran
La République islamique a réagi en suspendant progressivement ses propres engagementsà l’accord nucléaire, tout en annonçant à plusieurs reprises qu’elle était prête à reprendrerespecter ses engagements en cas de suppression des sanctions.